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Les causes des cauchemars

Alexandre Lemyre, M.A., Ph.D.

J'ai étudié la psychologie à l'Université Laval, Canada, où j'ai obtenu un baccalauréat, une maîtrise et un doctorat. Je suis un chercheur en psychologie, pas un psychologue (je ne suis pas accrédité pour faire de la psychothérapie). Ma thèse doctorale consistait à développer et tester une nouvelle théorie de la fonction des rêves. Au cours de mes études, j'ai également travaillé sur plusieurs projets de recherche en lien avec les rêves, les cauchemars, l'insomnie, l'anxiété et la consommation de substances. Depuis août 2021, je suis stagiaire postdoctorale au Centre d'Études sur le Trauma (CÉT), qui fait partie du Centre de recherche de l'Institut Universitaire de Santé Mentale de Montréal (IUSMM). J'y étudie les conséquences de l’exposition à la violence chez les travailleurs sociaux, les déterminants des troubles du sommeil (cauchemars et insomnie) à la suite d’un traumatisme, ainsi que le traitement des cauchemars chroniques. J'ai un intérêt particulier pour l'utilisation des technologies (p.ex., applications mobiles) pour le traitement des difficultés psychologiques.

Le contenu de cet article a été mis à jour le 1er février 2022.

Introduction

Mieux comprendre les causes des cauchemars est une entreprise fascinante, et je crois que c’est une étape nécessaire pour améliorer les traitements psychologiques pour ce problème de sommeil. En 2015, dans le cadre d’un stage de recherche, j’ai élaboré et réalisé une étude qualitative sur les perceptions des personnes qui ont des cauchemars. L’article rapportant les résultats de cette étude a été publié quelques années plus tard (Lemyre et al., 2019); oui, la recherche peut prendre du temps ! Je reviendrai sur cette étude un peu plus tard, car elle contient des résultats intéressants sur les perceptions concernant les causes des cauchemars. Dans l’ensemble, la réalisation de cette recherche m’a amené à plonger en profondeur dans la documentation scientifique sur les causes des cauchemars, et je me suis tenu à jour depuis. Dans le présent article, je vais résumer l’état de la recherche sur ce sujet.

Cauchemars post-traumatiques à la suite d'expériences traumatiques

La cause la plus évidente des cauchemars est l’expérience de traumatismes. Parmi les individus qui développent un trouble de stress post-traumatique à la suite d’une expérience traumatique, environ deux tiers souffrent de cauchemars post-traumatiques (Milanak et al., 2019). Un cauchemar post-traumatique est un cauchemar dont le thème, le contexte, le contenu ou l’émotion principale partagent une certaine similitude avec une expérience traumatique passée (Duval et Zadra, 2010).

Qu’est-ce qu’une expérience traumatique exactement ? L’Association Américaine de Psychiatrie (2022) définit les expériences traumatiques comme une « Exposition à la mort effective ou à une menace de mort, à une blessure grave ou à des violences sexuelles ». L’événement traumatique peut être vécu directement, ou encore être observé ou appris (p.ex., apprendre qu’un proche s’est suicidé). Pour certains travailleurs, comme les premiers répondants (p.ex., les policiers, les ambulanciers) et les travailleurs des services de protection de l’enfance, l’exposition répétée aux détails aversifs d’événements traumatiques (tels que de ramasser des restes humains après un accident, être exposé aux narratifs d’enfants qui ont été abusés) peut également constituer une expérience traumatique. L’exposition à des événements traumatiques par le biais des médias n’est pas considérée comme une expérience traumatique (Association Américaine de Psychiatrie, 2022). L’une des échelles les plus utilisées pour évaluer l’exposition à des événements traumatiques est la Liste des événements de vie (Gray et al., 2004), élaborée par le National Center for PTSD (centre national pour le trouble de stress post-traumatique) aux États-Unis. Les expériences traumatiques suivantes sont tirées de ce questionnaire, et chacune d’entre elles est susceptible d’entraîner des cauchemars post-traumatiques :

  • Catastrophe naturelle (p.ex., inondation, ouragan, tornade, tremblement de terre)
  • Feu ou explosion
  • Accident de transport (p.ex., accident de voiture, accident de bateau, accident de train, accident d’avion)
  • Accident grave au travail, à la maison ou pendant une activité de loisirs
  • Exposition à une substance toxique (p.ex., produits chimiques dangereux, radiations)
  • Agression physique (p.ex., être attaqué, frappé, giflé, frappé à coups de pied, battu)
  • Agression avec une arme (p.ex., se faire poignarder, menacé avec un couteau, un pistolet, une bombe)
  • Agression sexuelle (viol, tentative de viol, contrainte à accomplir tout type d’acte sexuel par la force ou la menace)
  • Autre expérience sexuelle non désirée ou inconfortable
  • Combat ou exposition à une zone de guerre (dans l’armée ou en tant que civil)
  • Captivité (p.ex., être kidnappé, enlevé, retenu en otage, prisonnier de guerre)
  • Maladie ou blessure mettant la vie en danger
  • Graves souffrances humaines
  • Mort violente et soudaine (p.ex., homicide, suicide)
  • Mort accidentelle soudaine
  • Blessure grave, préjudice ou décès que vous avez causé à quelqu’un d’autre
  • Tout autre événement ou expérience très stressant 


Il convient de noter que les expériences traumatiques ne produisent pas systématiquement des cauchemars post-traumatiques. Environ un individu sur dix exposé à un traumatisme développera éventuellement un trouble de stress post-traumatique (TSPT; Breslau, 2009). Parmi les personnes ayant reçu un diagnostic de TSPT, environ deux sur trois ont des cauchemars post-traumatiques (Melissa E Milanak et al., 2019). Bien sûr, il est également possible d’avoir des cauchemars post-traumatiques sans remplir tous les autres critères diagnostiques du TSPT.

Les expériences traumatiques perçues comme étant plus sévères donnent souvent lieu à des cauchemars post-traumatiques qui ressemblent davantage au trauma qui a été vécu (c’est-à-dire que ces cauchemars sont davantage réplicatifs). De plus, en règle générale, la similarité entre l’expérience traumatique et les cauchemars post-traumatiques tend à diminuer avec le temps (Duval et Zadra, 201022).

La relation entre le neuroticisme et les cauchemars

Le neuroticisme est l’un des cinq grands traits de personnalité, avec l’extraversion (ou l’ouverture), la conscienciosité, l’extraversion et l’amabilité. Le neuroticisme est défini comme une tendance à éprouver des émotions négatives. La plupart des études (mais pas toutes) rapportent une relation positive entre le neuroticisme, la fréquence des cauchemars et la détresse liée aux cauchemars (Kelly et al., 2018; Lancee et al., 2010; Schredl et Goeritz, 2019; Spoormaker et al., 2006 pour une revue). Cela signifie que les individus qui ont tendance à ressentir des émotions plus négatives (c.-à-d., les individus qui ont un niveau de neuroticisme plus élevé) ont également tendance à faire plus de cauchemars, et à être davantage affectés par ces cauchemars. Schredl et Göritz (2020) ont constaté qu’une augmentation du neuroticisme sur une période de deux ans était associée à une augmentation de la fréquence des cauchemars, tandis qu’une diminution du neuroticisme sur la même période était associée à une diminution de la fréquence des cauchemars. Une hypothèse pour expliquer ces résultats est que le fait d’éprouver des émotions négatives augmente le risque de faire des cauchemars, soit directement, soit indirectement. Il pourrait également y avoir une relation bidirectionnelle : l’expérience d’émotions négatives favoriserait les cauchemars, qui à leur tour augmenteraient la réactivité émotionnelle face aux événements négatifs. 

Les perceptions des personnes souffrant de cauchemars concernant les causes de leurs cauchemars.

Un moyen évident d’en savoir plus sur les causes possibles des cauchemars est d’interroger directement les personnes qui en souffrent. Dans cette section, je présente les études qui ont utilisé cette approche, des plus anciennes aux plus récentes.

Dans une étude de Dunn et Barrett (1988), 36 étudiants de premier cycle qui faisaient au moins quatre cauchemars par mois ont reçu un questionnaire contenant des causes possibles des cauchemars. Le pourcentage de participants ayant endossé chaque cause était le suivant : pression scolaire ou professionnelle (64% des participants), conflits dans des relations importantes (44%), mauvaises nouvelles (35%), expérience effrayante récente comme le visionnement d’un film effrayant (29%), et une maladie ou une fatigue inhabituelle (24%).

Dans une étude de Thünker et al. (2014), 335 personnes ayant en moyenne 12 cauchemars par mois ont reçu un questionnaire contenant des causes possibles des cauchemars. Contrairement à la première étude de Dunn et Barrett, les participants ont été invités à indiquer les causes des cauchemars en général, sans nécessairement faire référence à leurs propres cauchemars. Bien que les statistiques précises ne soient pas rapportées, le graphique à barre indique que les cauchemars étaient attribués au stress (≈ 80% de l’échantillon), aux conflits intérieurs (≈ 80% de l’échantillon), aux traumatismes (≈ 77% de l’échantillon), à la personnalité (≈ 34% de l’échantillon) et aux gènes (≈ 8 % de l’échantillon).

Dans une étude de Cohen et Zadra (2015), 581 personnes (dont des étudiants de premier cycle et des individus de la population générale) ont rapporté leur pire cauchemar, ainsi qu’une description de la cause présumée de ce cauchemar. Les auteurs ont utilisé une grille de 11 causes possibles des cauchemars (qu’ils ont construite sur la base de la documentation scientifique) pour catégoriser les descriptions des participants. Dans l’ensemble, les participants ont attribué leur pire cauchemar aux relations interpersonnelles (18,1% des participants), aux divertissements tels que les films ou les jeux vidéo (9%), à la mort ou à la peur de la mort (8,1%), aux phobies spécifiques (définies de manière vague comme étant des peurs qui ne sont pas en lien avec les relations; 8,1%), les émotions et états négatifs, y compris la fatigue et l’inconfort physique (7,9%), les difficultés liées à la santé physique ou mentale (6,4%), les causes spirituelles ou paranormales (5,2%), un événement ou une situation significative, y compris un traumatisme passé (4,8%), l’environnement physique (4,5%), et l’impuissance, l’insécurité ou la découverte de soi (5,5%). J’ai omis trois catégories (« autres », « sans origine » et « inconnu »), c’est pourquoi le total n’atteint pas 100%. Les relations interpersonnelles représentaient de loin la cause la plus rapportée, et elle pouvait faire référence à des conflits dans une relation, à l’absence d’un être cher, à la peur qu’un être cher soit blessé ou à la peur qu’une relation prenne fin (Cohen et Zadra, 2015).

Dans notre propre étude (Lemyre et al., 2019), j’ai interviewé 20 étudiants universitaires qui avaient un problème de cauchemar allant de léger à grave (c.-à-d., plusieurs fois par semaine pendant plusieurs mois). Pour de nombreux participants, la fréquence des cauchemars avait considérablement varié au cours de la dernière année. Dans le cadre de l’entrevue individuelle avec les participants, je leur ai demandé ce qui, selon eux, avait causé leurs cauchemars. J’ai ensuite analysé l’enregistrement des entrevues et catégorisé les causes rapportées.

  • Les causes professionnelles, notamment le stress lié aux études (12 participants) et au travail (6 participants).
  • Les enjeux interpersonnels, notamment les séparations (12 participants), les difficultés relationnelles (8 participants), la peur des actions des autres (4 participants) et la solitude ou l’isolement (4 participants).
  • Des traits psychologiques, notamment une tendance à l’anxiété (4 participants), la peur du rejet (3 participants) ou une faible estime de soi (2 participants).
  • Des causes physiologiques, notamment la prise de médicaments (2 participants) ou de mélatonine (2 participants), ou le fait de manger avant de se coucher (2 participants).
  • Les émotions négatives qui n’ont pas de cause claire, notamment le stress (10 participants) et les peurs (3 participants).
  • Les événements importants de la vie, y compris les événements qui menacent la vie (comme un accident de voiture; 4 participants), les événements qui ne menacent pas la vie (comme un avortement; 3 participants), et les événements prolongés qui ne menacent pas la vie (comme l’instabilité à un jeune âge; 2 participants).
  • L’utilisation d’appareils électroniques (p.ex., cellulaires) avant le coucher (5 participants)
  • L’anticipation d’événements négatifs (4 participants)
  • Des comportements autodestructeurs (comme la consommation de drogues ou l’automutilation; 3 participants)
  • Un manque perçu de contrôle (3 participants)

Sommaire et conclusion

Les causes des cauchemars pourraient être multiples. Parmi celles-ci figurent les expériences traumatiques (pour les cauchemars post-traumatiques) et le neuroticisme, qui est défini comme une tendance à éprouver des émotions négatives. Lorsqu’on interroge les personnes qui souffrent de cauchemars sur les causes de leurs propres cauchemars (ou sur les causes des cauchemars en général), un niveau élevé de stress est souvent rapporté, en particulier le stress lié aux relations ou aux activités professionnelles (travail, études). En règle générale, les chercheurs dans le domaine des rêves et des cauchemars reconnaissent qu’il existe une continuité entre les préoccupations à l’état d’éveil (qui peuvent être positives ou négatives) et le contenu/les émotions des rêves (Domhoff, 2011; Hartmann, 2011; Schredl, 2015), ce qui implique que les préoccupations négatives pourraient conduire à des rêves déplaisants et à des cauchemars.

Références

American Psychiatric Association. (2022). The Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, Fifth Edition, Text Revision (DSM-5-TR). Author.

Breslau, N. (2009). The epidemiology of trauma, PTSD, and other posttrauma disorders. Trauma, Violence, & Abuse, 10(3), 198-210. https://doi.org/10.1177/1524838009334448

Cohen, A., & Zadra, A. (2015). An analysis of laypeople’s beliefs regarding the origins of their worst nightmare. International Journal of Dream Research, 8(2), 120-128. https://doi.org/10.11588/ijodr.2015.2.20328

Domhoff, G. W. (2011). Dreams are embodied simulations that dramatize conceptions and concerns: The continuity hypothesis in empirical, theoretical, and historical context. International Journal of Dream Research, 4(2), 50-62. https://doi.org/10.11588/ijodr.2011.2.9137

Dunn, K. K., & Barrett, D. (1988). Characteristics of nightmare subjects and their nightmares. Psychiatric Journal of the University of Ottawa, 13(2), 91-93.

Duval, M., & Zadra, A. (2010). Frequency and content of dreams associated with trauma. Sleep Medicine Clinics, 5(2), 249-260. https://doi.org/10.1016/j.jsmc.2010.01.003

Gray, M. J., Litz, B. T., Hsu, J. L., & Lombardo, T. W. (2004). Psychometric properties of the life events checklist. Assessment, 11(4), 330-341. https://doi.org/10.1177/1073191104269954

Hartmann, E. (2011). The nature and functions of dreaming. Oxford University Press.

Kelly, W. E., Mathe, J. R., & Yu, Q. (2018). Specific versus scaled estimates: A comparison of two approaches to measuring retrospective nightmare frequency. International Journal of Dream Research, 11(2), 203-206. https://doi.org/10.11588/ijodr.2018.2.48486

Lancee, J., Spoormaker, V. I., & Van Den Bout, J. (2010). Nightmare frequency is associated with subjective sleep quality but not with psychopathology. Sleep and Biological Rhythms, 8(3), 187-193. https://doi.org/10.1111/j.1479-8425.2010.00447.x

Lemyre, A., St-Onge, M., & Vallières, A. (2019). The perceptions of nightmare sufferers regarding the functions, causes, and consequences of their nightmares, and their coping strategies. International Journal of Dream Research, 35-48. https://doi.org/10.11588/ijodr.2019.2.62396

Milanak, M. E., Zuromski, K. L., Cero, I., Wilkerson, A. K., Resnick, H. S., & Kilpatrick, D. G. (2019). Traumatic event exposure, posttraumatic stress disorder, and sleep disturbances in a national sample of U.S. Adults. Journal of Traumatic Stress, 32(1), 14-22. https://doi.org/10.1002/jts.22360

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Schredl, M. (2015). The continuity between waking and dreaming: Empirical research and clinical implications. In M. Kramer & M. Glucksman (Eds.), Dream research: Contributions to clinical practice. (pp. 27-37). Routledge/Taylor & Francis Group.

Schredl, M., & Goeritz, A. S. (2019). Nightmare frequency and nightmare distress: Socio-demographic and personality factors. Sleep Science, 12(3), 178-184. https://doi.org/10.5935/1984-0063.20190080

Schredl, M., & Göritz, A. S. (2020). Stability of nightmare frequency and its relation to neuroticism: A longitudinal study. Journal of Sleep Research, 1-5. https://doi.org/10.1111/jsr.13126

Spoormaker, V. I., Schredl, M., & van den Bout, J. (2006). Nightmares: from anxiety symptom to sleep disorder. Sleep Medicine Reviews, 10(1), 19-31. https://doi.org/10.1016/j.smrv.2005.06.001

Thünker, J., Norpoth, M., von Aspern, M., Özcan, T., & Pietrowsky, R. (2014). Nightmares: Knowledge and attitudes in health care providers and nightmare sufferers. Journal of Public Health and Epidemiology, 6(7), 223-228. https://doi.org/10.5897/JPHE2013.0565

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